Télépathie
Articles inspirés !
J’ai reçu ces messages par télépathie. Je les ai écrit, mais je n’en suis pas l’auteur. C’est mon intérêt pour ce domaine d’écriture qui fait que j’ai capté ces informations, par ce que j’appelle, (CE QUI MANIFESTE).
Et je suis certain que le genre humain en est tout doté !!!
Autre Vibration (Écrit en 1997)
L’émergence à l’accès du niveau de vibration suivant est présentement éminent en cette espace temps.
À travers ce mouvement, l’être humain ne connaît plus la haine, la guerre, la souffrance, la maladie, le vieillissement et la mort.
La connaissance et la compréhension de la personnalité et de l’Unité nous amène sur ce plan.
L’Homme/Divin est en train de re-créer l’accès à cette réalité.
La joie, la santé, la beauté, la paix, la vie et l’AMOUR absolu, fait maintenant partie de sa réalité.
Cela est fait !!!
Clermont Couillard
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L'Amour est au dessus de tout
D’aussi loin que je me souvienne, je me suis toujours intéressé aux comportements humains.
Qu’est-ce qui déclenche le rire, les pleurs, la colère, le malaise, le mal-être, la maladie et la mort.
Cette étonnante caractéristique chez l’être humain m’a toujours fasciné. Je me suis longtemps interrogé à savoir, comment peut-on passé d’un état soi-disant d’amour à un état de haine ou de violence dans l’espace de quelques heures ? Comment peut-on passer d’un état de santé normal à un verdict d’un cancer généralisé en quelques semaines ?
Quelle énigme n’est-ce pas ?
Une énigme que j’ai observée longtemps. Je me suis questionné et demandé de l’aide en dedans de moi pour comprendre et j’ai reçu intérieurement sous forme télépathique des concepts qui m’ont apportés des réponses et à travers ces réponses, une libération incommensurable que je partage d’ailleurs dans cet écrit.
Cependant, je suggère d’y penser à deux fois avant de continuer à lire cet écrit. Il est impérieux de comprendre que la libération de l’ÊTRE qui nous habite implique l’unification de toutes nos parties, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur. À travers les outils et l’information contenue dans cet écrit, nous sommes sur la route à l’Éveil de conscience et de la rencontre de notre PRÉSENCE.
Soyez donc sûr d’être sûr !
Quand on emprunte le chemin de l’Éveil, c’est un non-retour.
Très jeune j’observais, bien qu’à ce moment je ne savais pas que ça s’appelait de l’observation. Quoi qu’il en soit, j’observais, parce que ce que je voyais et entendais m’interpellait et je ressentais au fond de moi quelque chose avec lequel je ne me sentais pas bien. C’est beaucoup plus tard que j’ai appris et compris le nom de cette chose qui me faisait mal en dedans de moi et que l’on appelle (la souffrance).
J’ai donc logiquement au fur des années à force d’observation et de questionnement, reçu des réponses télépathique à l’intérieur de moi. Des réponses, on m’en donnait tant que j’en voulais et autant que je questionnais. Et à chaque fois j’étais stupéfait de constater qu’à travers ces réponses je comprenais ce qui se passait dans un comportement X d’un événement X. À vraie dire, ce processus d’observation, de questionnement et de réponse est toujours actif en moi et s’actualise à plusieurs niveaux.
Un jour, lors d’un atelier en croissance personnelle avancé, quand je dis avancé, j’oserais dire compliqué, je me suis senti bizarre, comme fatigué. Au moment où je commençais à me demander ce qui se passait en moi, j’ai senti que je n’étais plus dans mon corps. Et je dois dire que ce n’est pas habituel pour moi, je suis plutôt du genre pragmatique et contrairement aux gens qui me disaient que dans ces états on se sentait bien, ce n’était pas le cas pour moi. Je me sentais plutôt mal et comme entre deux eaux, si je puis dire. Je savais que je n’étais plus là, je veux dire dans mon corps.
Soudain, une interrogation est montée en moi et se transposait sous forme de question qui me semble était adressé à notre ami Jésus !
Jésus, pourquoi dis-tu «merci Père que ce soit si simple » ? Il faut dire que pour moi et je pense que pour bien d’autres personnes ce n’est pas si simple, on pourrait même dire que c’est trop compliqué. Bien que les enseignements qui sont diffusés dans cette salle s’avèrent magnifiques, je me dis que s’il faut que j’étudie tout ça pour me soigner ou essayer de soigner la différence, ce serait peut-être mieux de rester malade !
Je sais que je posais une question, mais je ne m’attendais pas à une réponse. Je me sentais plutôt dans un état second d’interrogation. Cependant, voici ce qui est monté en moi :
L’AMOUR EST AU-DESSUS DE TOUT !
Quoi ? L’AMOUR est au-dessus de tous, me suis-je dit ?
L’AMOUR, mais, c’est quoi l’AMOUR ?
Et puis, plus rien !
Je suis revenue assez brusquement et la voie de l’enseignant se faisait entendre graduellement à mes oreilles. J’ai alors pris conscience que j’étais revenue dans mon corps.
J’ai regardé autour de moi, j’étais présent à ce qui se passait en moi. J’ai senti que ce n’était pas ma place. Je me suis levé et je suis partie. Bien qu’un peut secouer et perdu, je sentais qu’inconsciemment à ce moment, qu’un autre niveau vibratoire venait de m’être transmis.
Comme la majorité du monde, ce n’était pas la première fois qu’on me parlait d’amour, mais cette fois je savais que je venais d’entrer dans un autre niveau de conscience et je savais aussi que ce n’était que le début, sans nécessairement le comprendre.
Ce que j’ai reçu ce jour-là à préparer ces écrits à travers lesquels je diffuse les informations que j’ai reçues par la suite.
Informations ? Enseignements ? Ou bien initiation ? Peu importe !
Je pense que ce qui est important pour moi et pour vous à travers ces informations que vous êtes sur le point de recevoir, c’est la compréhension de la souffrance qui nous amène à redécouvrir notre état naturel de liberté, de bien être, de bonheur, de joie et de légèreté de vivre.
En outre, ce qui prend la place par la compréhension de ce qui nous habite sur ce tau vibratoire est L’AMOUR.
Voici ce que j’ai reçu :
L’AMOUR EST AU-DESSUS DE TOUT, L’AMOUR EST TOUT !
L’AMOUR INCLUT NÉGATIF ET POSITIF, BIEN ET MAL…
L’AMOUR C’EST, S’AIMER, ÊTRE AIMÉ ET AIMÉ.
L’AMOUR NE SE DONNE PAS ! L’AMOUR EST INDUCTION.
On ne peut pas aimer ”la différence” ! On ne peut pas aider ”la différence” ! On ne peut pas être aux services ”de la différence” ! On ne peut que s’aimer !!!
L’AMOUR NE SE DONNE PAS ! L’AMOUR EST INDUCTION.
Lorsque nous sommes en amour avec notre ÊTRE, L’AMOUR se diffuse par lui-même. Aider, aimer et être au service se fait tout seul.
Aimer et haïr, sourire et pleurer, tendresse et violence, homme et femme, mal et bien, négatif et positif, blanc et noir, paix et guerre, vie et mort… C’est L’AMOUR !!!
L’AMOUR EST INCONDITIONNEL…
Pour terminer, je désire clarifier le paragraphe sur la mention de Jésus.
La question qui est montée en moi ce jour-là se rapporte à une phrase qui aurait supposément été dite par l’entité que nous appelons, nous les humains, Jésus. Ce qui sous-entant que la réponse que j’ai reçue viendrait de cette entité puisque la question qui est montée semblait s’adresser à elle.
Je tiens à souligner que cette question est montée en moi naturellement. Je me plais plutôt à penser que c’est la Source (l’énergie, la vie, l’information globale) en moi et en vous qui est à l’origine de cet événement et des événements que vous vivez vous aussi, puisque nous sommes tous connectés à cette Source.
Plus j’aime à l’extérieur de moi,
Plus je manque d’Amour pour moi.
Il n’y a d’AMOUR en soi, que pour notre ÊTRE !
Clermont Couillard
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Signification du mot Dieu pour moi
En ce qui me concerne, j’entends par le mot Dieu (l’énergie, l’amour, la vie, l’atome, la particule, le grand être, le tout, l’univers, l’information globale, etc…) enfin, ce qui MANIFESTE le visible et l’invisible.
Je ne cautionne et n’appartient à rien, ni à qui que ce soit de ce monde. J’existe dans cette réalité de ce monde à travers les expériences, conscientes et inconscientes, que j’ai choisi de libéré afin d’accéder à un niveau supérieur de conscience plus éthéré. C’est exactement pour ça que je suis ici, dans ce monde, si non, je serais sur une autre ligne temporelle ou intemporelle selon ce que j’aurais libéré.
Alors, quand j’emploie le mot Dieu, ça n’a aucune connotation avec ce monde en particulier et ce que les êtres de ce monde en ont fait. Le mot Dieu, pour moi, fait référence à ce qui MANIFESTE tout de la création du visible et de l’invisible.
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l’Amour, la Vie, Dieu & ses Attributs
L’Amour, est un autre nom que l’être humain à employer pour remplacer celui de l’Énergie, de la Vie, de la Source ou Dieu. Tous ces noms désignent la même chose et ils ont les mêmes attributs dont, celui de manifester la matière.
Petite parenthèse
Du tout début de l’humanité la question a toujours été qui est Dieu, longtemps on nous a dit cherche qui tu es et souvent nous nous sommes demandé qui je suis. Aujourd’hui je vous invite, à voir ce QUI, autrement et de le remplacer par QU’EST-CE QUE.
Qu’est-ce que l’amour, Qu’est-ce que Dieu, Qu’est-ce que l’Énergie, Qu’est-ce que la Vie, et donc qu’est-ce que je suis et non qui je suis. Pourquoi ?
QUI, sous entant : un personnage, une personnalité.
QU’EST-CE QUE, sous entant : l’Énergie, la Vie ou Dieu, c’est ce qui manifeste.
Je m’explique
Mon avis est que l’Amour, l’Énergie, la Vie ou Dieu est une essence ou substance vibratoire qui est inconditionnelle, immuable, neutre et c’est ce qui manifeste la matière.
J’aime à me rappeler de l’importance que cette essence ou substance vibratoire, est inconditionnelle, ce qui veut dire que cette substance n’a pas de conditions, c’est pour cette raison qu’elle est neutre et de ce fait, appelé aussi, Unité.
J’aime également à me rappeler de l’importance de la neutralité de cette essence ou substance vibratoire. Ça veut dire qu’il n’existe aucune différence entre les êtres et les choses. Aucune différence dans le sens que tous les êtres et choses sont égaux.
Pour nous les êtres humains il est crucial de prendre conscience et de comprendre que l’un des attributs de cette essence ou substance vibratoire, est de manifester la matière.
Cette essence que nous appelons Amour, vibre, l’être humain vibre, la matière vibre, l’invisible vibre. Ce qui veut dire que tout de la création que ce soit visible ou invisible, vibre.
Alors, il devient évidant de comprendre que l’Amour est vibration et qui d’ailleurs est le langage des mystiques, prouvé par la science et ressenti par les êtres humains.
L’être humain obtient ce qu’il vibre. Pour ce faire, il faut accéder à la connaissance du processus de connexion à ce qui manifeste, c’est-à-dire l’Amour et de le pratiquer.
Comment pouvons-nous vibrer ce que nous voulons obtenir ? Ou, quel est ce processus de connexion ?
Le cerveau capte des milliers de pensées par jour. Rien ne peut être manifesté si nous somme esclave de toutes ces pensées. Il n’y a aucune vibration, parce qu’il ne peut y avoir de l’attention et de l’intention dans cette condition.
L’idée, c’est de cultiver l’attention sur une seule pensée à la fois. La pratique de cultiver une pensée et de s’y focaliser, d’éclanche en nous une émotion. Et plus nous nous focalisons sur cette pensée et que nous la vivons vraiment en dedans de nous, plus nous ressentons cette émotion et plus elle devient puissante.
Quand la puissance de l’émotion atteint son apogée, elle se transforme en vibration
Si nous vibrons ce que nous voulons obtenir, nous sommes sur la même longueur d’onde que L’Amour et l’Amour manifestera notre vibration. Car l’Amour est vibration !
LE LANGAGE POUR SE CONNECTER À CE QUI MANIFESTE
POUR COMPRENDRE LES SECRETS DE LA MANIFESTATION,
IL FAUT PENSEZ EN TERMES
D’ATTENTION, D’INTENTION, DE PENSÉE FOCALISÉE, D’ÉMOTION, DE VIBRATION ET D’ÉNERGIE
Comment ça se passe ?
INTÉRIEUREMENT
JE CONTEMPLE CE QUE JE CHÉRIS, CE JE VEUX OBTENIR
À ce point, le travail est de savoir ce que je veux obtenir.
ENSUITE
JE CRÉE LA SCÈNE DE CE QUE JE CHÉRIS — COMMENT ?
Je vis, en dedans de moi, la scène de ce que je chéris, par les cinq sens.
Je me vois en train de le vivre intérieurement.
APRÈS
L’Amour, la Vie, l’Énergie, Dieu répond à ce que je chéris soit, par télépathie, par un élan qui monte en dedans de nous et qui est indiscutable ou par des circonstances extérieures (Personne, animal, chose, circonstance, événement).
ALORS LA COMMANDE EST
RESTE TRANQUILLE – SOIT PRÉSENT – ÉCOUTE
Clermont Couillard
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Ce que je suis et ce que je vis
D’un premier pas, devenir observateur de ce que je suis.
Ce que je suis est le résulta d’expériences vécues qui évolue comme suit, selon mon point de vue !
Expériences – perception – conclusion — conditionnement — projection — comportement. Le total de ce que je suis à toujours passé par ce processus.
J’ai longtemps accusé ce que l’on appelle égo, cet outil d’être, la cause de mes déboires. Cependant, après maint questionnement, demande, réflexion et méditation, j’ai eu une réponse, un genre d’information de conscience, qui est venu à mon conscient.
J’ai soudainement compris, que l’égo, n’était pas la cause. J’ai compris que l’égo était un magnifique outil et que je ne l’utilisais pas nécessairement à bon escient.
L’image que j’ai reçue, ” un contenant”. J’ai vu que l’égo était un contenant !
J’ai alors compris que s’était moi “la cause”, que c’était moi qui configurais, qui remplissait cet égo, ce contenant, de conditionnements par rapport à…et qui devenait des comportements.
La causerie du 10 octobre portait sur LES TÉMOIGNAGES. Témoignages de quoi ? De l’observation de mes soi-disant comportements. Alors, peut-être ai-je une clé pour ouvrir la porte à CE QUE JE SUIS !!!
Depuis plusieurs années, à travers mon énergie projetée vers la différence, j’observe. J’observe ce que j’ai mis dans mon contenant. En silence, je suis présent à ce qui m’interpelle en dedans de moi lorsque je me rencontre à travers la différence. La différence, qui, bien qu’elle ou qu’il soit une entité à part entière, n’est finalement que ma propre énergie, la reconnaissance de moi-même à travers cette différence.
Suite à ces observations, je peux témoigner de l’amélioration de mon état mental, physique et émotionnel. Ce qui a comme résultat en bout de ligne une meilleure santé, un état de bonheur intérieur quasi constant, une magnifique présence à la différence et vous comprendrez pourquoi… et une responsabilité de mon tout, total.
Je rencontre beaucoup de gens qui développent de plus en plus l’observation plutôt que de continuer à jouer les rôles (Bourreau – Victime – Sauveur). Les témoignages que j’ai la joie d’entendre sont fascinants…
La différence « personne, animal, chose, circonstance, événement…», sont des messagers que ma propre énergie me renvoie, pour me voir, me connaître, guérir mes programmes « blessures, traumatismes, blocages… » et constater où j’en suis rendu dans mon évolution personnelle…
— OBSERVATION —
Clermont Couillard
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Vivre à la source - Être à la Maison
LES CHEMINS PARALLÈLES
Humain (séparé) — Divin (unité)
Humain (séparé)
Il y a les sentiers que l’on parcoure pour comprendre les sentiers.
Il y a les sentiers qui sont compris pour entrevoir le chemin.
Il y a le chemin pour le retour à la Maison.
Divin (unité)
Il y a les sentiers que l’on parcoure pour rejoindre le chemin.
Il y a le chemin à parcourir pour entrevoir la Source.
Il y a l’arrivé, y entrer et vivre de la Source.
Parlons du monde de l’humain séparé
Dans le monde de l’humain séparé, le premier signe de la séparation est le corps humain, l’instrument qui sert à parcourir les sentiers, les expériences, les contractes, les différences. C’est pour cet état de fait que l’on dit que les êtres humains sont séparés.
Le corps humain est donc considéré comme étant le symbole de l’égo qui règne en roi dans ce monde, qu’on pourrait désigner comme virtuel, puisqu’il n’existe pas vraiment.
Par analogie, en pourrait dire que le corps humain est la couronne du roi/égo.
Pourquoi dit-on que le monde de l’égo serait virtuel et qu’il n’existe pas vraiment ?
La question serait plutôt : comment parait-il exister vraiment ?
LIENS — APPARTENANCES – ATTACHES – ATTENTES
Existentiel – Émotionnel – Personnel
L’apanage de l’égo des programmes
Par analogie, en pourrait dire que ce sont par ses attributs que ce monde semble réel ou paraitrait exister.
C’est à travers ces attributs que nous participons non seulement à rendre ce monde apparemment réel, mais aussi que nous contribuons à sa continuité.
Paradoxalement, c’est aussi à travers ces attributs assistés de ses complices, les émotions, que nous détruisons cet instrument humain qu’est le corps. (malaise, mal-être, souffrance, maladie, décrépitude, transition).
En outre, les liens, les appartenances, les attaches sont inconsciemment reliées à nos préférences. Ici est la clé de la compréhension du sentier de l’existence, expériences, apprentissages à travers les contractes, les opposés, les différences.
LES PRÉFÉRENCES
Le conflit, le malaise, le mal-être, la souffrance, la maladie et autres prennent leurs sources en nous-même à travers les attentes, les attaches et les liens qui sont eux, relié à nos préférences.
Voilà la cause et l’unique cause !!!???***
Aucune personne, animal, choses, circonstance ou événement n’est l’objet de nos conflits et de nos souffrances.
En vérité, pour celles et celui qui s’éveille, ils sont la clé de la connaissance de soi.
UNE SOLUTION ? PEUT-ÊTRE !
LIENS, APPARTENANCES, ATTACHES, ATTENTES
REMPLACÉS PAR LA CONTEMPLATION
Se pourrait-il que nous puissions vivre nos expériences sans nécessairement vouloir posséder quoi que ce soit, juste vivre l’expérience en tant qu’expérience.
Est-ce que nous pouvons vivre une expérience et de ne pas être dans l’attente que ce soit comme nous voudrions que ce soit mais simplement de la vivre et dans jouir. D’y être présent, dans l’observation de ce que nous ressentons de cette liberté. Sans ces attaches qui nous mène inévitablement dans la dépendance, le besoin et le goût.
Toutes ces attentes et ces attaches créent automatiquement des liens de possessions, d’appartenance, de citoyenneté, d’abus de pouvoir et quoi encore.
Oui, on peut vivre nos expériences sans que nos préférences soient dans l’attente que nous soyons satisfaits pour goûter du bonheur. Et il est question ici de bonheur durable !
Clermont Couillard
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Les marginaux
N’OUBLIEZ JAMAIS CECI :
Ça toujours été les (MARGINAUX) qui ont changé les sociétés, qui les ont préservées de la perte de leur liberté et mis fin aux guerres.
Ça n’a jamais été, non, jamais été les contemporains !
Ça toujours été les (CONTEMPORAINS) qui ont critiqué, attaqué, ridiculisé les marginaux.
Ça n’a jamais été, non, jamais été les marginaux qui ont critiqué, attaqué, ridiculisé les contemporains!
Sur cette pensée, il m’est venu une petite réflexion.
Nous avons tous aimé Jésus de Nazareth, enfin je pense, mais je peux me tromper !
Mahatma Gandhi, Mahatma Siddhartha (Bouddha), Mahatma Krysna, Martin Luther King, John, F. Kennedy, le personnage de Mel Gibson dans le film (Le Patriote) !
ET LA LISTE EST LONGUE, TRÈS, TRÈS, TRÈS LONGUE DE CES PERSONNAGES, POUR NE PAS DIRE MAÎTRES QUI ONT AIMÉ LE PEUPLE JUSQU’EN EN LAISSER LEUR VIE.
Etttttttttt pourtant, comment les avons-nous appelés ? Comment les avons-nous traités ? Et pourquoi ?
Ceci est une réflexion qui m’est venue, comme ça, par HASARD. J’sais pas pourquoi hein !!!???
Que ceux et celles qui ont des yeux pour voir, voient !
Que ceux et celles qui ont des oreilles pour entendre, entendent !
C’est plus que jamais le temps !
D’ailleurs, le temps, qu’en est-il du temps ?
En vérité, en vérité je vous le dis. Il n’y a plus de temps pour le travail sur soi au niveau de l’égrégore social, au niveau des sociétés, au niveau collectif. Il y eu une donnée de temps de 15 années environ pour ce travail au niveau social/collectif, mais c’est terminé. Depuis les 4 années de temps allouées pour la divulgation, le temps du travail sur soi social/collectif, a été rompu.
Cependant, le travail sur soi personnel/individuel est toujours d’actualité, vivant et primordial parce que le temps est à la (MOISSON) à la (CUEILLETTE).
Le temps de la moisson est le temps du changement de ligne de temps, de longueur d’ondes, de dimension, de densité.
Vers un monde meilleur ? NON ! Un peuple différent !!! Une humanité bienveillante !!! Une réalité de partage !!!
Les moissonnés, les cueillis ne seront pas choisis, ni élus, ni promus, mais changeront de ligne de temps ou de longueur d’ondes ou de dimension ou de densité par leur simple ÉTAT INTÉRIEUR, qu’ils auront travaillé au fil du TEMPS.
C’est pourquoi le travail sur soi social/collectif est terminé !
C’est le temps de la moisson !!!
Clermont Couillard
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Dans le domaine du désir
DANS LE DOMAINE DU DÉSIR REIN NE SERT DE DEMANDER
IL SUFFIT DE CONTEMPLER CE QUE L’ON CHÉRIT
UNE DEMANDE DÉJÀ MANIFESTÉE À ASSURÉMENT ÉTÉ CONTEMPLÉ AU PRÉALABLE
DEMANDER, MANIFESTE SON CONTRAIRE
CONTEMPLER, MANIFESTE LA VISION
Comprendre, c’est sortir de l’illusion !
L’énoncé d’une parole est une question de contexte et possède plusieurs niveaux et plusieurs attributs.
Comment elle est comprise est toujours en fonction du niveau de conscience de celle ou celui qui l’entend.
C’est pour ça que le Monsieur disait ‘’que celui qui a des oreilles pour entendre, entende’’.
La parole qui annonce ‘’demandez et vous recevrez’’ est à mon avis, du premier niveau de la personnalité et son attribut n’appartient pas au domaine de la manifestation, mais bien au domaine de l’ouverture, du lâcher prise et de la confiance.
Là on parle de l’intellect ce qui n’est pas négligeable, au contraire, j’oserais dire que c’est un pas vers l’éveil.
La manifestation est du domaine de la contemplation et non de la demande. La demande est un sentier d’éveil vers la compréhension du processus de manifestation.
Demander, c’est s’éveiller !!!
Les commentaires sont toujours bien appréciés !
Si vous avez des questions, c’est bon de les poser dans les commentaires, mais si ça demandent à être élaborées, vous pouvez le faire en privé aussi.
Ça me fait plaisir d’expliquer ce que j’essaie de dire dans les publications, quand je peux, bien sûr !
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D'abord il n'y a Rien.
Ensuite, qui sait ?
Peut-être un regard, un sourire, un rapprochement non calculé. C’est comme, on pourrait dire, un souvenir inconscient. On ne sait pas trop, sur le moment, mais il s’est passé quelque chose qu’on ne peut nommer.
Puis, on se présente tour à tour, on discute de choses et d’autres, comme pour savoir, tester le niveau de reconnaissance. Qui elle ou il est ? Qu’est-ce qu’elle ou il est ?
Et puis, chacun va son chemin !
Sans le savoir, sans même imaginer, cette rencontre n’est pas le fruit du hasard, mais un rendez-vous d’outre temps, sûrement !?
Une autre rencontre fortuite. D’autres discussions qui nous rapprochent encore plus. On apprend à se connaître, elle ou il devient une Connaissance, on prend soudainement conscience que c’est plus qu’une rencontre.
Un rendez-vous et puis un autre et encore un autre, on est plus souvent ensemble que pas. Et puis un jour quelqu’un nous demande : c’est qui la personne qui est avec toi ?
C’est mon AMI.E !!!
Alors commence l’aventure. Les quatre-cents coups, les sorties, les voyages, les voitures, la nourriture, les jeux, etc.
Et puis, le temps passe on se voit moins souvent, les discussions deviennent plus corsées, on a plus de temps pour les voyages et autres. On s’appelle, on discute plus rarement parce que l’intérêt de ce que l’on partageait n’est plus au rendez-vous. On se dit je t’aime et on se rappelle plus tard. Mais plus tard devient de plus en plus tard et wowww, ça fait longtemps hein ? Tellement longtemps que l’Ami.e est redevenue une Connaissance.
D’abord, il n’y a Rien !
Ensuite, il ne reste presque plus Rien !
Ça, on a appelé ça “L’AMITIÉ“…
Clermont Couillard
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Bourreau – Victime – Sauveur
D’un premier pas, devenir observateur de ce que je suis !
Ce que je suis est le résulta d’expériences vécu qui évolue comme suit :
Expériences – perception – conclusion — conditionnement — comportement. Le total de ce que je suis à toujours passé par ce processus.
J’ai longtemps accusé mon égo, cet outil d’être la cause des mes déboires. Cependant après maint questionnement, demande, réflexion et méditation, j’ai eu une réponse, comme un genre d’éveil.
J’ai soudainement, compris, que mon égo n’était pas la cause. J’ai compris que l’égo était un magnifique outil servant à la protection de mon tout.
L’image que j’ai reçue, ” un contenant”. J’ai vu que mon égo était un contenant.
J’ai alors compris que s’était moi “la cause”, que s’était moi qui configurait, qui remplissait cet égo, ce contenant, de conditionnements par rapport à…et qui devenait des comportements.
La causerie du 10 octobre portait sur LES TÉMOIGNAGES. Témoignages de quoi ? De l’observation de mes soi-disant comportements. Alors peut-être ais-je une clé pour ouvrir la porte à QUI JE SUIS !!!
Depuis plusieurs années à travers mon énergie projetée vers la différence, j’observe. J’observe ce que j’ai mis dans mon contenant. En silence, je suis présent à ce qui m’interpelle en dedans de moi lorsque je me rencontre à travers la différence. La différence, qui bien qu’elle ou qu’il soit une entité à part entière, n’est finalement que ma propre énergie.
Suite à ces observations, je peux témoigner de l’amélioration de mon état mental, physique et émotionnel. Ce qui à comme résultat en bout de ligne une meilleure santé, un état de bonheur intérieur quasi constant, une magnifique présence à la différence et vous comprendrez pourquoi… et une responsabilité de mon tout, total.
Je rencontre beaucoup de gens qui développe de plus en plus l’observation plutôt que de continuer à jouer les rôles (Bourreau – Victime – Sauveur). Les témoignages que j’ai la joie d’entendre sont fascinant, voir même Divin.
OBSERVATION
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Nous avons tous toujours raison
Ce qui est étonnant de nous les êtres humains, c’est que nous avons tous toujours raison. Sept milliards d’humains environ sur cette planète et chacun voit la couleur rouge de façon différente.
C’est stupéfiant de prendre conscience de cette information relative.
Ce qui est encore plus stupéfiant, c’est de comprendre que ce sur quoi je donne mon énergie, je vais le voir dans ma réalité, quoi que cela puisse être.
En outre, quand j’énonce que ça ne marche pas, ça marche, ça ne marche pas. Pourquoi ?
Parce que le fait que j’énonce que ça ne marche pas, je suis en train de créer toutes les énergies nécessaires à la création de cet énoncé. Et je vais le voir dans ma prochaine réalité.
Pour moi, nos réalités relatives viennent de nos croyances, nos croyances viennent d’une pensée acceptée, qu’elle soit de nous ou des autres. La pensée vient d’une interrogation, une constatation, ce sur quoi on s’arrête. Nous l’émettons par la bouche, nous nous entendons le dire ou entendons un autre le dire; ensuite nous rencontrons les témoins de notre parole et ce qui suit est la croyance.
Plus je crois en ce que je crois, plus je le matérialise dans une densité vibratoire concrète. C’est-à-dire que tout alentour de moi va être peint de cette croyance.
Je vais sortir de cette réalité le jour où, soit par la souffrance ou par autre chose, je mettrai fin à cette croyance.
Donc, il est facile d’accueillir ce qui est en avant de moi, car je sais maintenant que tout ce que la personne croit est vrai pour elle et pour ceux dont cette croyance est acceptée.
Si je demeure dans cet entourage, je vais sûrement devenir cette croyance. Si je ne veux pas devenir cette croyance, c’est à moi de choisir autre chose.
Paradoxalement, si je mets de l’emphase sur le fait que je ne veux pas devenir cette croyance, je vais le devenir. Enfin…
En ce qui concerne le fait de la nécessité de l’ombre, ce n’est plus une nécessité, mais bien la compréhension que c’est une partie du TOUT, le Tout que nous sommes tous d’ailleurs.
Lorsque je comprends dans mon ÊTRE que l’ombre et la lumière sont mon “entier”, je suis dans l’AMOUR…
Clermont Couillard
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Le service à l'autre
Il y a le service à soi, pour se connaître soi-même.
Il y a le service à soi, le (me, my self and I – moi, moi seul et moi-même).
Il y a le service à l’autre, pour aider.
Il y a le service à l’autre, pour s’aider.
Il y a le service à la VIE, la présence, la diffusion, le rayonnement.
Il y a le service à la VIE, l’absence, la manipulation, l’Abu.
Et il y a le service à rien.
Le service à soi, pour se connaître soi-même, car comment connaître l’extérieur si on ne se connait pas soi-même ? Comment on peut aimer à l’extérieur si on ne s’aime pas soi-même ?
Apprendre à s’aimer, c’est apprendre à se connaitre, à s’accueillir, à se pardonner. Ça, c’est le service à soi.
Et c’est le sentier qui mène au service à l’autre.
Clermont Couillard
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L'amitié
L’amitié que l’on dit ressentir pour un autre est égale au degré de reconnaissance de soi à travers la différence.
La différence peut être une personne, un animal, une chose, un événement ou une circonstance. Il n’y a pas de limite à la représentation de la différence.
Vous êtes-vous déjà arrêté sur le mot “amitié” ? Quelle est sa définition ? D’où vient ce mot ?
Je ne parle pas ici de la définition au niveau de la langue ou du dictionnaire, mais bien au niveau énergétique !
Faisons une petite incursion antérieure. Vous souvenez-vous d’avoir entendu de vos parents ou grands-parents l’expression “c’est la mi-saison”, ce qui voulait dire “c’est la demie de la saison” ou “la moitié de la saison”. Même aujourd’hui, on emploie encore cette expression, par exemple dans le sport tel le hockey lorsque l’on entend l’annonceur dire “c’est la période de la mi-temps”. La “mi”, réfère à la moitié.
Dans le mot amitié nous retrouvons cette expression “ a mi “ qui veut dire la moitié.
Maintenant, si l’on se réfère au point de vue énergétique et que nous acceptions le fait que nous sommes tous UN et que par ce fait nous sommes “Unité”, ce qui veut dire que nous sommes entiers.
Dans le mot “entier”, nous retrouvons la partie “tier”.
Pourquoi disions-nous que nous avons de l’amitié pour une personne ? Ce pourrait-il que cette personne représente la moitié de ce que nous sommes ? De là l’expression “a mi tié” pour “la mi entier”, ce qui voudrait dire la moitié de l’entier.
Qu’est-ce que nous regardons vraiment dans la différence ? Sur quoi est attirée notre attention ?
Pourrions-nous appeler cela “de l’intérêt” plutôt que de l’amitié ? Je pense que oui ! Pourquoi ?
Parce que ce n’est pas ce qu’est la différence qui nous intéresse vraiment, c’est ce que je vois de moi à travers elle, de moi qui suis positif ou négatif, que j’aime ou n’aime pas et les preuves de ce que j’avance sont infinies, les exemples à la tonne.
Vu sur cet angle, il est plus aisé de moins se blesser. En sachant que la différence est la moitié de moi, comment puis-je être en colère contre moi ? Comment puis-je être blessé de moi-même ?
Je me plais à la pensée que la pratique de ce point de vue m’amène à la guérison de toujours me sentir blessé par la différence, à la responsabilité de ce qui arrive en avant de moi et à me libérer d’une prison illusoire que j’ai moi-même construite.
L’amitié est égale au degré de reconnaissance de soi à travers la différence.
C’est le même concept qu’avec une compagne, on entend souvent dire “c’est ma tendre moitié”. La moitié de quoi et de qui ?
De ce que je vois de moi à travers elle.
Vous voulez un exemple ?
La tendre moitié que vous dites aimer, vous savez celle qui a les yeux bleus, la chevelure noir ébène, le nez délicat, la peau douce, le caractère charmant, etc.… eh bien, prenez seulement le nez plus large de votre soeur, par exemple, et mettez-le à la place de celui de votre compagne.
Est-ce que votre degré de reconnaissance de vous va changer ? Est-ce que vous allez aimer de la même intensité cette personne ?
Soyez honnête, vous allez sentir immédiatement la différence en dedans de vous. Oh, je sais bien que ça ne vous empêchera pas de l’aimer, mais avec une coche de moins. Il va y avoir quelque chose de changé.
Et rappelez-vous, ce n’est ici que l’exemple du nez…
Supposons que d’un jour à l’autre le caractère de votre tendre moitié se scinde à celui de quelqu’un avec qui vous ne vous entendez pas ! Supposons qu’elle commence à trouver que les autres garçons sont véritablement beaux ! Supposons que vous vouliez absolument avoir des enfants et qu’elle prenne tous les moyens pour ne pas en avoir !…
À chaque concept, vous allez sentir en dedans de vous un degré de moins dans l’amour que vous dites ressentir pour elle.
Alors !?
L’amitié ou l’amour que l’on pense ressentir pour la différence est égal au degré de reconnaissance de soi à travers cette différence.
Et savez-vous quoi ? Il n’y a aucune exception !
Ne vous en faites pas, c’est magnifique que de savoir ça, je dis bien savoir car il y a d’autres étapes au devenir.
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La croyance
On me demande souvent si je crois, si je suis un croyant.
Selon moi ou du moins ce que j’en ai compris, c’est que la croyance peut être positive ou négative, c’est-à-dire bonne ou mauvaise. Pour moi il n’y a ni mal, ni bien à croire ou ne pas croire tout dépends du point de vue ou on se place et pour quel motif, bref.
En partant de ce constat, il y a longtemps, très longtemps que je suis sorti des croyances, de la croyance !
La croyance est une pensée cristallisée et quand une pensée est cristallisée il y a un résultat qui s’en suit et ce résultat est figé, cristallisé tant et aussi longtemps que la personne y croit.
On entend souvent des gens tenir ce propos : (je suis convaincu) ! Être convaincu c’est être figé, cristallisé. J’ai constaté au fur des années que la croyance et le fait d’être convaincu peuvent être source de conflit. Cependant, si la personne se sent bien dans cet état, tout est parfait.
En ce qui me concerne, j’ai développé l’habitude d’observer et de ne rien acheter de ce que je vois, j’entends, je touche, je goûte, je sens, ce qui dans un premier temps préserve ma paix intérieure.
Dans cet état de fait, l’observation, je n’ai pas de pensées, pas de jugements ni de croyances, je ne fais qu’observer. Par la suite je peux, avec un certain recul, prendre ou laissez aller. Si je laisse aller, la paix est préservée dans tous les sens, c’est déjà un miracle. Si je prends, je veux dire que si quelque chose me plaît, je la vis sous forme de pensée seulement. Je porte attention à ne pas figer ni cristalliser ce que je prends.
Une pensée peut être gardée, abandonnée ou changée en tout temps. En outre, changer ou abandonner une croyance, c’est toute une aventure !
L’idée c’est de garder à l’esprit l’observation et de se souvenir qu’une pensée est plus malléable qu’une croyance, du moins c’est mon point de vue.
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Le jugement
À mon avis et après maintes réflexions, j’ai compris que le jugement sur les aspects extérieurs découle de trois options.
– Je suis comme ça ;
– Je ne suis pas comme ça ;
– Je n’accueille pas ça ;
“ÇA”, VEUT DIRE : Personne, animal, chose, événement, circonstance, endroit, lieu…..
Exemple : Je suis comme ça !
Je travaille dans un bureau d’une grande firme et il y a quelques employés qui sont toujours félicités, adulés de leur travail et comportement. Je me dis que pourtant “je suis comme ça” moi aussi et je ne reçois pas cette même reconnaissance. Alors, automatiquement je vais chercher les contres partis de cette reconnaissance que ces employés reçoivent.
Au fond de moi je sais que je suis aussi compétent que ces employés et que je mériterais aussi d’être félicité et adulé tout comme eux. Je ne me sens pas apprécié à ma juste valeur et en résulte de l’envie, du mécontentement et de la jalousie. Bien évidemment, tout ce scénario est inconscient.
Et puis, arrive le jugement : ils ne sont pas compétents du tout – ce sont des amis du patron, ils sont mal structurés, j’ai autant de valeur qu’eux, sinon plus, etc…………
Exemple : Je ne suis pas comme ça !
Plusieurs personnes me parlent des bénéfices d’adhésions à un certain groupe qu’eux trouvent très avantageux. Après m’être fait expliquer tous les avantages, le contentement et le bien être qu’ils ressentent à faire partie de ce groupe, ils me demandent si cela m’intéresse.
Au fond de moi, c’est instantané, je me dis non “je ne suis pas comme ça”. Je ne ressens aucun intérêt et avantage qui puisse m’inciter à aller vers ce tipe de groupe, bien que j’apprécie cette demande et ces personnes.
Et puis, arrive le jugement : encore une attrape – c’est bien trop dispendieux – il y en a des centaines de groupe comme ça – ça ne marche pas, ect…..
Exemple : Je n’accueille pas ça ;
Si je ne suis pas dans les deux premières options et que cela m’interpelle ou me dérange quand même, c’est le signe que “je n’accueille pas ça”.
Il n’y a rien de mal à ne pas accueillir, mais le résultat en est assurément, la souffrance.
RÉFLEXION / SOLUTION
Considérant les trois options, il est important de réévaluer les croyances que le jugement n’est pas bon, ou serait négatif.
Le jugement n’est pas nécessairement négatif !
Pourrait-il être positif ?
Ben sûr !
Comment ? C’est trop simple pour être vrai !
Tout simplement en me réappropriant les mots dont je me suis servie pour juger.
Exemple de jugement :
Elle ou il n’écoute pas;
Elle ou il est toujours en retard;
Elle ou il maltraite les autres;
Elle ou il porte des couleurs qui m’énerve;
Elle ou il est trop ferme;
Elle ou il ne sourit jamais;
La question que nous devons nous poser pour nous réapproprier ces mots que nous utilisons comme jugements ?
Qu’est-ce que je n’écoute pas? Quelle partie de moi qui n’écoute pas ?
Qu’est-ce que je vois en moi qui est toujours en retard ? Quelle partie de moi qui est toujours en retard?
Qu’est-ce que je maltraite ? Quelle partie de moi que je maltraite?
Bref…
Ce pourrait être aussi :
Je n’aime pas quand le gens n’écoute pas;
Je n’aime pas quand le gens sont en retard;
Je n’aime pas quand le gens qui maltraite les autres;
…
Si je ne me reconnais pas dans les exemples ci-dessus c’est qu’en dernier recourt
je n’accueille pas la différence
Il n’y a rien de mal à ne pas accueillir, mais le résultat en est assurément, la souffrance.
CONCLUSION
Le jugement n’est pas nécessairement négatif !
Il suffit tout simplement de me réapproprier les mots dont je me suis servie pour juger.
Clermont Couillard – 12 mars 2021
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La culpabilité
À mon point de vue,
La culpabilité vient de nos préférences personnelles que nous n’avons pas réussi à faire combler de l’extérieur. Les préférences personnelles engendrent trois états (appartenances – liens– attachements) qui eux engendrent des (attentes).
Des attentes non comblées nous placent dans un état d’insatisfaction, donc, dans un état que l’on appelle le malheur.
Lorsque nous ressentons en dedans de nous cette émotion que l’on pense être du malheur, c’est en fait la culpabilité de ne pas avoir réussi à manipuler, si je peux dire, l’extérieur afin de combler mes attentes. C’est du non-amour pour soi.
On ne se sent pas coupable d’avoir dérangé ou blessé l’extérieur, on se sent coupable de savoir blessé soi-même en n’ayant pas réussi d’avoir manipulé l’extérieur afin de combler nos attentes.
La culpabilité est une émotion qui est née d’une expérience antérieure qui a été conclue par un verdict d’insatisfaction par rapport à ce que l’on s’attendait.
Cette conclusion est toujours suivie du conditionnement que cette conclusion est bonne. Alors, nous développons des comportements en fonction de justifier cette soi-disant bonne conclusion.
Lorsque ce comportement est ancré en nous, nous le projetons à l’extérieur de nous et l’extérieur de nous, ce sont les personnes, animaux, choses, événements, circonstances que l’on rencontre. C’est ce que j’appelle, la différence.
Ces personnes, animaux, choses, événements, circonstances représenteront alors des perceptions, perceptions que l’on rencontre à l’extérieur. C’est pour cette raison que l’on dit que la différence, c’est nous, que nous ne rencontrons que nous. Tant et aussi longtemps que nous ne comprenons pas ce discernement du moi et la différence, la différence sera toujours le coupable.
De là, la culpabilité.
On dit que c’est la maladie de le stacause. C’est à cause de l’autre et bien entendu l’autre portera notre culpabilité due au fait que nous n’avons pas pu combler nos attentes. Alors, si nous comprenons que l’autre c’est nous il est facile maintenant de voir que c’est notre propre culpabilité que nous projetons à l’extérieur.
La culpabilité n’est pas affaire de l’égo mais bien de notre irresponsabilité, consciente ou inconsciente. En bout de ligne, c’est de l’ignorance !!!
Mais bon, ça demeure un point de vue !
Clermont Couillard
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La gratitude
Il y a plusieurs niveaux à la gratitude.
La gratitude est un état émotionnel provoqué par de la satisfaction personnelle.
La gratitude, la question se pose !
Pourquoi je ressens de la gratitude ?
Ai-je de la gratitude par cause de mes possessions et intérêts personnels ?
Ai-je de la gratitude par cause de connaissance et de conscience ?
Dans quel état intérieur je suis quand je ressens de la gratitude ?
Qui dit gratitude, dit satisfaction, contentement à limite, bonheur. Qui de nous n’a pas entendu cette exposée : soit satisfait de ce que tu as ou encore prend conscience de ce que tu possèdes et ait de la gratitude pour ce que tu es !
D’accord, mais dans cet état de pensée, à quel niveau je me situ ? N’est-ce pas au niveau de la personnalité ? Ce qui n’est sûrement pas négligeable bien sûr parce que ça redonne de l’estime de soi, de l’acceptation de soi, le fait de s’arrêter un peu et de faire le constat de ce qu’on l’on est et de ce que l’on possède ou de ce qui nous entoure.
Avoir de la gratitude sous entends, dire merci pour tous ces bienfaits. Alors à ce niveau de gratitude nous sommes dans un état de satisfaction. C’est ce que la gratitude représente pour moi à ce premier niveau d’expérience. Et la cause ici est la personnalité.
Cependant, qui pourrait bien être la cause de tous ces bienfaits pour qui je dis ressentir de la gratitude ?
Nous voici à un autre niveau, la conscience, la connaissance.
La gratitude ou les remerciements que la personnalité ressent pour ces bienfaits, est un grain de sable, une goutte d’eau quand on prend conscience de la cause de ce qui manifeste tous ces bienfaits. Sans cette cause, aucune manifestation, aucune expérience possible.
Donc, ce serait important de comprendre et de savoir à quel niveau je me situ quand je dis ressentir de la gratitude.
Le niveau intérieur ou le niveau extérieur ?
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La chose, ou la pensée que j'en ai ?
Pour toi, est-ce vraiment la chose qui n’est pas bonne ou la pensée que j’en ai ?
À mon humble point de vue, la pensée que j’ai de quelque chose est bien souvent plus dommageable que la chose elle-même.
Combien de fois ai-je pensé qu’un tel ou tel événement allait se produire de telle ou telle façon etttttt surprise, je m’étais stressé absolument pour rien ou presque. Bon, je me suis dit, parce que je me parle souvent, quand vas-tu arrêter de prendre tes pensées pour ce qui peut se passer réellement ?
Combien d’êtres aimés, j’ai pu voir pleurer, se stresser, se décourager, se rendre malade seulement à la pensée que ce qu’ils désiraient n’allait pas bien se passer. Des jours et même des mois avant le soi-disant événement. Je leur partageais de changer leur pensée d’essayer d’envisager l’événement en question comme vraiment il voulait que ce soit. Mais bon, il faut du courage et de la volonté lorsqu’on ne maîtrise pas la matière en question.
Aussi, je me suis souvent demandé, pourquoi pour la même pensée sur le même objectif (personne, animal, chose, circonstance), le résultat n’était pas le même pour chaque personne. Je me suis dit, oui je me parle souvent, peut-être que l’objectif en question n’est pas vu de la même façon pour tout le monde, ou que la pensée que les gens ont de cet objectif n’est pas pareil ! J’ai donc commencé à chercher un peu partout une réponse à ce petit comportement.
Une étude psychologique dit que 10 personnes qui regardent le même pot de fleur jaune ont toutes une description différente de ce qu’ils ont vu et une réaction différente face à l’objet.
C’est le même pot de fleur jaune ! Est-ce l’objet qui a changé ou la pensée que j’en ai ?
1000 personnes regardent le même coucher de soleil… Est-ce l’objet qui a changé ou la pensée que j’en ai ?
Des érudits demandaient au Monsieur il y a 2000 ans : quand je pense à être avec une autre femme que la mienne est que j’ai péché ? Et le Monsieur de répondre : le fait que tu y penses, c’est déjà accompli ! Quand même !!!
Des études menées par des scientifiques de l’université de Harvard au niveau de l’effet placébo ont prouvé que la pensée que les sujets avaient concernant le médicament placébo avait le même impact que ceux qui prenaient le vrai médicament.
Et comment d’autre exemple il y a ?
Mais c’est seulement mon humble point de vue. Toutes les réponses sont bonnes.
Chacun son temps, chacun son rythme.
N.B : Si vous êtes interpelé par des fautes de frappes ou d’orthographes, félicitez vous d’être bien instruit ! Cependant, si vous êtes interpelé par le message, félicitez vous d’être un être compatissant.
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Le Langage de l'Énergie
POUR COMPRENDRE LES SECRETS DE LA MANIFESTATION,
PENSEZ EN TERMES D’ATTENTION, D’INTENTION, DE PENSÉE FOCALISÉE,
D’ÉMOTION, DE VIBRATION ET D’ÉNERGIE
Nous nous connectons à l’Énergie Source Créatrice par nos pensées focalisées. Lorsque notre pensée est focalisée, elle se transforme en émotions et de l’émotion en Vibration. C’est par celles-ci (la Vibration) que l’Énergie Source Créatrice reconnaît nos demandes et manifeste ce que nous Vibrons.
INTÉRIEUREMENT
Trouver ce qui nous fais plaisir, ce que nous chérisons.
CONTEMPLER CE QUE NOUS CHÉRISONS
En dedans de nous !
CRÉER LA SCÈNE DE CE QUE NOUS CHÉRISONS
Vivre en dedans de nous, la scène de ce désir, par les cinq sens. Voyons-nous en train de le vivre.
MANIFESTATION
La Source répond et manifeste nos désirs soit, par un élan qui monte en dedans de nous et qui est indiscutable ou par des circonstances extérieures.
ALORS LA COMMANDE EST
RESTER TRANQUILLE – ÊTRE PRÉSENT – ÉCOUTER
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L'Être et l'égo
L’ÊTRE est un, tout, L’ÊTRE est entier. On ne peut pas dissocier L’ÊTRE et ce qui est appelé (égo) en fait partie. Si on dissocie l’égo de L’ÊTRE, on se rejette soi-même, si on se rejette soi-même, on vibre le rejet et c’est ce que l’Amour INCONDITIONNEL va manifester dans notre expérience, parce que l’Amour INCONDITIONNEL répond à notre vibration.
Ce que l’on appelle (égo), depuis des millénaires, et même encore aujourd’hui, est simplement le résultat de nos PRÉFÉRENCES personnelles créé par nos propres expériences. PRÉFÉRENCES qui engendrent trois états, LIENS – APPARTENANCES – ATTACHES. Et ceux-ci crée des ATTENTES. Lorsque les attentes de ces trois états sont COMBLÉS ou pas COMBLÉS ceci engendre de la SATISFACTION ou de L’INSATISFACTION. C’est ce qui est appelé
aujourd’hui, BONHEUR et MALHEUR.
On peut appeler ces composantes (égo) si on veut. Cependant, l’idée est de comprendre ce qui est appelé (égo) :
ÉGO =
PRÉFÉRENCES
APPARTENANCES – LIENS – ATTACHES
ATTENTES
COMBLÉS non COMBLÉS
SATISFACTION – INSATISFACTION
BONHEUR – MALHEUR
Lorsque ce concept est compris, ce que l’on appelle (égo) retrouve sa place en UNITÉ dans L’ÊTRE et inévitablement nous renouons avec notre paix originelle.
Pour moi, quand on parle de l’égo, je fais référence à un contenant. Si on parle de contenant, il y a probablement du contenu.
Le contenu du contenant qui pourrait être appelé (égo) est le résultat de tous nos choix d’expériences qui se sont avérés positives ou négatives. À travers cette polarité, on peut rencontrer ce qui est communément appelé, blocages ou blessures.
C’est ce que j’appelle des PROGRAMMES !
Le programme, c’est le contenu et ce qu’on appelle (égo) est le contenant, une composante de L’ÊTRE qui ne peut être dissocié. Par analogie, l’eau qui est bleu dans un verre transparent, est-ce le verre qui est bleu ou l’eau ? L’eau, bien sûr ! Il en va de même pour le contenant, est-ce le contenant qui est le programme ou le contenu ?
Le verre, peut-il se remplir d’eau lui-même ? Le contenant, peut-il se remplir de contenu lui-même ? De toute évidence, il y a un événement, une intervention de quelqu’un ou de quelque chose. Et qui pourrait bien être ce quelqu’un ou ce quelque chose ?
NOUS-MÊMES, RIEN QUE NOUS-MÊMES !
Donc, qu’est-ce que l’égo ? L’égo c’est MOI ! Et qui remplit le contenant qu’on appelle (égo) ? C’est MOI et rien que MOI. Je suis totalement responsable de mes contenus que sont mes programmes.
Qu’est-ce qu’un programme ?
Les programmes (contenu) sont les résultats d’expériences négatives et positives qui s’accumulent dans le contenant appelé (égo) au fur et à mesure du temps à travers les multiples incarnations. Ce sont des expériences marquantes, plaisantes ou traumatisantes.
N’étant pas compris par le conscient sur le moment, ils restent en attente d’être compris et libéré par un conscient plus évolué de la personne. L’évolution du conscient est relative et est associée aux nombres de prises de conscience que la personne va faire durant une existence ou à travers plusieurs incarnations d’existences.
Donc, lorsque que l’évolution d’une personne est à un niveau de pouvoir COMPRENDRE consciemment un programme, la VIE manifeste à travers de multiples MESSAGERS les informations nécessaires pour libérer le ou les programmes.
C’est la faute de l’Égo.
Cela peut être la faute de n’importe qui, n’importe quoi !
Et oui, quand c’est la faute de la différence, on ne peut parler d’éveil.
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La même longueur d'onde
Je me suis toujours dit que j’allais toujours défendre les plus démunis. J’ai toujours pensé que s’était le peuple qui avait le plus besoin d’aide. J’ai toujours pensé que cet état intérieur était bon et que s’était relié au niveau de l’humanité, de l’amour de l’humain.
Après plusieurs mois, voire plusieurs années de remisse en question, d’observation des comportements de personnes, des choses et de moi-même, je me suis rendu à l’évidence que ce n’était même pas une question de personne ni même d’humanité.
La prise de conscience qui est montée en moi, est que toute ma vie j’ai absorbé, endurée, acceptée, accueillie, fait avec toutes sortes de vibrations qui n’étaient pas ou pas nécessairement moi. J’ai consenti inconsciemment l’entre maillage de toutes sortes de vibrations différentes sans jamais me poser de question ou de remettre en perspective le curieux sentiment que je ressentais et qui me mettait tout le temps en interrogation, mais sans jamais m’en occuper vraiment. C’était comme normal et je suis aujourd’hui très conscient que ça l’était aussi pour l’extérieur.
J’ai compris, et je parle pour moi, que ce n’est pas une question d’aider, de s’adapter, d’aimer, de prendre soins, de faire attention, de supporter les personnes ou l’humanité.
C’est une question d’être sur la même fréquence, la même longueur d’onde, de vibrer pareille.
Selon ce que j’ai appris et je pense que ça fait du sens, en tout cas pour moi, le Christ disait : Vous pensez que je suis venu pour vous unir ! Je ne suis pas venu pour unir, mais pour désunir. Je pense qu’il parlait de ce que je ressens aujourd’hui et que je suis peut-être prêt à comprendre et à mettre en plan.
Ma compréhension de ces paroles, c’est que tout ce qui existe et qui ne vibrera pas sur la même longueur d’onde, ne pourra être ensemble en tout point de vue (petit-moyen-grand). Pour ma part je comprends que le négatif et le positif n’existera plus de la même façon que j’ai connue, mais seront UN, par le fait que ce qui est sur la même fréquence, la même longueur d’onde va être ensemble.
Aujourd’hui, je commence à comprendre de plus en plus mes vibrations et à discerner ce qui en est en dissonance. Personnes, animaux, choses, circonstances, événements et autres. Mes vibrations sont mes vibrations et celles des autres personnes ou êtres sont les leurs.
Loin de moi de critiquer, de juger ou de rejeter toutes les sortes de vibrations différentes qui existent dans la création. Je comprends simplement qu’ils sont semblâmes aux miennes ou dissemblables. C’est ce qui fait que ce qui est semblable va s’unir et dissemblable se désunir.
J’ai la pensée que le passage à une autre résalité, se fait de l’intérieur. Ce que je sens, ce n’est pas d’un point d’une décision, d’un discernement mental ou intellect, c’est une prise de conscience, une évidence, un ressenti incontournable.
Donc, ce qui a été vécu ne sera plus revécu, peut être vu, aperçu mais plus revécu. Il ne sera plus possible de nourrir (personnes, animaux, choses) dans mon énergie, même si je le voulais et ce sera pareil pour l’extérieur.
Ce n’est plus une question d’être humain, d’humanité ou de planète, c’est une question de vibration. Les mêmes vibrations s’attirent.
Les anciens disaient : qui se ressemblent, s’assemblent.
Je pense que je viens tout juste de le comprendre !!!
Ce qui me vient, c’est que même si 1 à 10% de choses me ressemble, ce n’est pas assez pour que cette chose subsiste parce qu’il reste 90% de choses qui ne me ressemble pas et à travers laquelle je ne suis pas très confortable. Le 1 à 10%, c’est que j’ai convenu inconsciemment de vivre pour comprendre que j’avais à me libérer de ça.
Aujourd’hui, à l’étape où les vibrations Universelles sont, il ne sera plus possible de voisiner des fréquences autres que les nôtres.
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La réincarnation ou les mémoires accumulés d'un futur destin
Qu’est-ce qui fait justement que nous sommes trop denses ? N’est-ce pas les expériences accumulées qui n’ont pas été résolues, qui n’ont pas été terminées ?
Je pense que lorsque nous prenons CONSCIENCE de l’ILLUSION, la nécessité de se réincarner n’est plus de mise. À mon avis cependant, il est possible de revenir sous un autre aspect, même humain, pour servir, mais je ne considérerais pas ça comme une expérience, à ce moment-là.
Je pense et ce n’est que ma pensée que le fait d’accumuler du savoir, de la connaissance et de la conscience, a pour but de comprendre que nous nous sommes égarés dans une réalité polarisé.
Égaré comment ?
En ne respectant pas les étapes de l’expérimentation, qui sont : le début le parcourt, l’arrivée ou la fin.
Lorsque nous sommes arrivés à la fin d’une expérience, elle doit être comprise et boucler, sinon c’est de l’accumulation d’émotion soit positive ou négative qui reste en mémoire et ce qui reste en mémoire va être un des buts, de la réincarnation. Boucler les expériences non résolues, car, aucune expérience non résolue nous est nécessaire.
Exemple, la peine d’amour, la perte, l’abandon, etc.
Prenons la peine d’amour communément appelé de cette façon. Si je vis cette expérience, c’est que je n’ai pas bouclé cette boucle et par ce fait, je n’ai pas compris que le parcourt de cette expérience était terminée, donc, j’accumule de la mémoire. Mais tout ça n’a pas lieu d’être, parce qu’au départ nous devions vivre l’expérience en tant qu’expérience et non en tant qu’attachement et possession.
Si je vis l’expérience comme un simple jeu, sans créer de lien ni d’attache, il n’y aura pas d’attente et l’expérience en tant que telle se bouclera par elle-même, par son cycle naturel (début, parcourt, FIN), alors il n’y aura pas d’accumulation. Donc, logiquement plus de nécessité de revenir pour boucler ces expériences, non terminées.
Et, j’aime penser que lorsque nous prenons CONSCIENCE de l’ILLUSION, les préférences, l’appartenance, les liens, les l’attachements et les attentes sont remplacés par la contemplation intérieur de ce que l’on chéri.
C’est mon humble avis, mais tous les avis sont bons, autrement dit, C’EST COMME ONT VEUX !!!
N.B : Il y a à l’infini des sentiers pour revenir à la Maison et la Maison pour moi, c’est la liberté, la liberté des mémoires accumulées des expériences non terminées, afin d’accéder à d’autres réalités.
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Le truc en question (Énergie - Dieu)
Le truc en question (Énergie – Dieu)
On ne nous le crie pas trop fort mais le truc qu’on appelle Dieu ou 90 milles noms différent depuis le début des temps, si début des temps il y eu, est en réalité tout ce qui nous entourent et tout ce qui nous entoure apparemment s’appellerait énergie (informations).
Intéressant et étonnant de constater que sur ce point la science nous informe que nous les corps humains somme constitué entièrement d’énergie et il ne se gêne pas pour le crier très fort, cependant, on ne nous explique pas exactement qu’est-ce que ça veut dire et comment ce truc fonctionne. Il serait peut-être temps que l’on s’interroge soi-même !
On aura beau l’appeler comme on voudra, ça apparemment toujours été de l’énergie et il semble que ça sera toujours de l’énergie.
Si nous demandons à un scientifique : « Qu’est-ce qui crée le monde ? » Il nous répondra : L’ÉNERGIE.
Décrivons l’Énergie :
Ça ne peut être créée ni détruite.
Ça toujours été, est et sera à jamais.
Ça se manifeste en formes à travers la matière et au-delà de la matière.
Si nous demandons à un mystique : « Qu’est-ce qui crée le monde ? » Il nous répondra : DIEU.
Décrivons DIEU :
Ça ne peut être créé ni détruit.
Ça a toujours été, est et sera à jamais.
Ça se manifeste en formes à travers la matière et au-delà de la matière.
Finalement, c’est la même chose (Énergie “Dieu”).
Désastreusement, la religion a tué Dieu et c’est pour cette raison qu’on ne se rappelle plus ce que cela signifie vraiment. On a comme perdu le fil d’avec ce qui semble être une vérité.
Le mot dieu est un nom et un nom est associé à une personnalité. Dieu ne peut pas être une personnalité !
La religion n’a rien à voir avec la vérité. La religion est un business. Un business achète quelque chose à moindre coût et la revend pour faire de l’argent. La religion s’est appropriée Dieu et le revend pour contrôler et asservir. Et nous y avons tous contribué. Enfermé dans l’ignorance, Dieu est devenu de la marchandise à laquelle on ne croit plus et on ne veut plus, faute de savoir et connaître ce que cela signifie vraiment.
D’accord, on a compris et on passe à un autre niveau. Autre niveau ? Oui, autre niveau ! SVP !!!
La science nous explique aujourd’hui que l’Univers, un autre nom donné à Dieu, est constitué à 100 % d’énergie et que le corps humain n’est d’autre chose que de l’énergie. Serait-il possible que Dieu et Énergie soient homologues ? Alors ?! Si le corps humain n’est constitué que d’énergie, que sommes-nous. Serait-il possible que nous… ???
OK, c’est juste une pensée, je suis juste en train d’expliquer mon humble point de vue sur le truc en question, (Énergie “Dieu”).
C’est bien beau tout ça, mais mon questionnement, et je suis certain que c’est le tien aussi, c’est comment ça fonctionne au juste ?
Et bien pour moi, j’appelle ça LE LANGAGE DE L’ÉNERGIE. Et voici ci-dessous ce que je pense de comment ça fonctionne, à mon avis !!!
POUR COMPRENDRE LES SECRETS DE LA MANIFESTATION,
PENSEZ EN TERMES D’ATTENTION, D’INTENTION, DE PENSÉE FOCALISÉE,
D’ÉMOTION, DE VIBRATION ET D’ÉNERGIE
INTÉRIEUREMENT
CONTEMPLE CE QUE TU CHÉRIS
Cherche, en dedans de toi. C’est en dedans de toi que tu vas trouver l’inspiration de tes désirs !
ENSUITE
CRÉE LA SCÈNE DE CE QUE TU CHÉRIS
Vis, en dedans de toi, la scène de ce désir, par les cinq sens. Vois-toi en train de le vivre.
APRÈS
La Vie, l’Énergie, Dieu répond à ton désir soit, par un élan qui monte en dedans de toi et qui est indiscutable, soit par des circonstances extérieures ou simplement par télépathie.
ALORS LA COMMANDE EST
RESTE TRANQUILLE – SOIT PRÉSENT – ÉCOUTE
ET L’IDÉE, C’EST DE SUIVRE L’ÉLAN INTÉRIEUR.
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Pourquoi le bonheur n'est pas durable ?
Mon intention dans ces écrits, est de partager les réponses à mes questions que j’ai reçues intérieurement et mon souhait est qu’elles puissent apporter des compréhensions à ce que l’on vie.
Nous avons tous notre propre vérité et nos propres réponses et c’est dans cette optique que je peux dire que je n’ai pas la vérité ultime.
Mon but est le bien-être par la compréhension de nos comportements. Voir les choses qui nous arrivent d’un autre point de vue, sans pour cela l’acheter, mais simplement le considérer et voir nos propres points de vue sous un angle différent.
Mon bonheur à moi à travers la personnalité programmée altéré (égo)
est de partager ce que j’ai reçu intérieurement.
Ma JOIE est d’un autre niveau !!!
Merci de votre présence !!!
L’ÉQUATION
( P et A = S alors B )
SI MES PRÉFÉRENCES ET MES ATTENTES SON SATISFAITENT – ALORS – C’est le BONHEUR
( P et A = i alors M )
SI MES PRÉFÉRENCES ET MES ATTENTES SON INSATISFAITENT – ALORS – C’est le MALHEUR
Attention, il n’y a pas de jugement dans cet énoncé,
seulement un point de vue qui pourrait répondre à : Pourquoi le bonheur n’est pas durable ?
EXPLICATION
L’adage populaire dit : le bonheur est éphémère et ne dure pas longtemps.
Selon l’adage, tout le monde court après le bonheur et personne ne veut le malheur et pourtant le bonheur et le malheur on la même source, la même provenance !
Qui s’en soucie ? Qui veut savoir ? Qui veut comprendre ? Qui a de grande oreille pour entendre ?
Impressionnant de voir que nous avons tous la réponse en dedans de nous mais, que personne, ou presque, ne se pose la question intérieurement ?
POURQUOI LE BONHEUR N’EST PAS DURABLE ?
Celles et ceux qui se sont posés la question et ont été présent à la réponse intérieurement ne parle plus de bonheur, ni de malheur, mais bien d’un senti d’une joie continue. En outre, il n’est pas question ici de dénier cet état de bonheur, ni de malheur qui fait partie de la personnalité programmée altéré (égo) mais bien de comprendre de quoi il en retourne.
Humblement, je me suis posé la QUESTION intérieurement et sur plusieurs années. Il m’a fallu nombre d’observation, de présence, d’écoute et de discernement, mais avec une intention constante de comprendre pourquoi nous vivions tous ou presque tous cet état d’ignorance qui nous éjecte de cette joie t’en libératrice.
Et oui, comme toutes celles et ceux qui se sont posés la QUESTION et toutes celles et ceux qui se la poseront un jour ou l’autre, j’ai obtenu ma réponse que je partage ici, s’en pour cela signifier que c’est la vérité absolue.
Comme le dit la chanson, il est où le bonheur ? Il est là, il est là ! D’accord, c’est une très belle affirmation romancée très pertinente pour un certain niveau de conscience, mais qui ne donne en rien le sentier à prendre pour la compréhension de pourquoi il ne dure pas le bonheur.
Oui, il est là le bonheur, mais c’est OÙ (là) ? Et c’est QUOI (là) ?
C’est ce que j’ai reçu intérieurement :
Le bonheur ou le malheur, les complices de la personnalité programmé altéré (égo).
Bonheur = satisfactions comblé = plaisir, contentement, bon-humeur, heureux…
Malheur = satisfactions non comblé = déception, peine, colère, agressivité, violence, maladie…
Le bonheur est associé directement à nos PRÉFÉRENCES PERSONNELLES créant ainsi des ATTENTES qui lorsque comblé nous font être dans un état de SATISFACTION curieusement appelé (bonheur.
Voilà pourquoi le bonheur ne dure pas !
ALORS, IL EST OÙ LE BONHEUR ?
DANS LA SATISFACTION QUE LES ATTENTES DE NOS PRÉFÉRENCES SOIENT COMBLÉ !
IL EST (LÀ) LE BONHEUR !
Mais ça ne dure pas !!!
Idem pour le malheur il est associé directement à nos PRÉFÉRENCES PERSONNELLES créant ainsi des ATTENTES qui lorsque non comblé nous font être dans un état d’INSATISFACTION curieusement appelé (malheur).
Voilà pourquoi le malheur ne dure pas !
ALORS, IL EST OÙ LE MALHEUR ?
DANS L’INSATISFACTION QUE LES ATTENTES DE NOS PRÉFÉRENCES NE SOIENT PAS COMBLÉ !
IL EST (LÀ) LE MALHEUR !
Mais ça ne dure pas !!!
Est-il question ici de bonheur et de malheur ? Non, on parle de satisfaction et d’insatisfaction.
Le bonheur le vrai, celui qui dure est d’un autre niveau de conscience. Celle qui ne requière pas de satisfaction, l’état d’un senti d’une joie continue !
On ne parle plus de bonheur ici, car la JOIE n’est pas un état de satisfaction, mais un senti qui monte de l’intérieur et qui est provoqué par une confiance absolue de ce que je contemple ou de ce que je chéris en dedans de moi se manifeste à l’extérieur.
Ce n’est pas moi qui manifeste, mais la PRÉSENCE, la SOURCE, le VIVANT qui est partout.
Il n’est plus question de préférences, d’attentes ni de satisfaction, mais de contemplation intérieure de ce que l’on aime. Nous vivons intérieurement l’Amour de ce que l’on aime. Quand nous contemplons ce que l’on aime nous sommes en train de parler à DIEU, la SOURCE, LE TOUT, et ça nous réponds par un senti qui monte de l’intérieur. De là, la JOIE en continue.
Il n’y a plus de ce que je VEUX, mais bien de ce que je CONTEMPLE ! Le je VEUX, indique un manque, car si je le veux c’est que je ne l’ai pas. La vibration qui m’habite à ce moment est ce qui va se manifester. La vibration est le langage de l’UNIVERS, de la SOURCE et c’est CELA qui manifeste.
Que je choisisse le JE VEUX ou la CONTEMPLATION, la VIE va toujours me répondre. Cependant, le JE VEUX vibre un manque, c’est donc la réponse que j’aurai. C’est-à-dire, que l’UNIVERS, le PRINCIPE PREMIER va mettre sur mon chemin tout ce qu’il me faut pour continuer à vivre le manque. C’est certain, c’est ma vibration et la vibration est le langage que l’UNIVERS la VIE entend et manifeste.
Idem pour la CONTEMPLATION, la VIE va me répondre de la même façon. C’est-à-dire, que l’UNIVERS, DIEU, la SOURCE va manifester l’amour que je ressens, car quand je CONTEMPLE ce que j’aime, je ressens de l’Amour et l’AMOUR répond à l’Amour.
Bien sûr, c’est ça l’AMOUR ! ÇA répond au langage de la vibration.
MAINTENANT !
QU’EST-CE QUE JE CHOISIS ?
À QUOI VAIS-JE ÊTRE PRÉSENT ?
QU’EST-CE QUE JE VAIS PRATIQUER ?
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Pourquoi parler de la mort ?
La mort ne fait pas partie de la VIE. Comment la VIE peut-elle mourir ? La VIE, vit !
La mort est le résultat millénaire de conditionnements programmés. En la VIE, n’existe aucun programme, préférences, attachements et attentes. Ces derniers sont les critères de cette programmation ADN qui conduisent inexorablement aux développements conditionnels qu’est la mort.
Quand nous entretenons ce discours sur la mort nous perpétuons ce conditionnement millénaire de cette programmation égotique et le résultat n’en est plus qu’évident bien sûr, la mort du corps physique.
Mais la mort ne fait pas partie de la VIE.
La VIE manifeste la mort, parce que la VIE est à l’unisson de la vibration de ce que l’on contemple et chérit et ce que l’on contemple et chérit par ignorance et inconsciemment, c’est la peur de mourir. Devant ce constat et à la limite, nous devrions peut-être contempler et chérir la peur de VIVRE alors la mort serait remplacée par la vie perpétuelle de l’esprit, de l’âme et du corps physique.
Mais la mort ne fait pas partie de la VIE ! Comment la VIE peut-elle mourir ? La VIE, vit ?
Est-ce une utopie ou une réalité a (accédé) ?
La question est : qu’est-ce que je contemple et chéris ?
La mort ou la VIE ?
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Probabilité - Possibilité
Ce à quoi on ne pense pas, ne sais pas, ne connais pas, n’est qu’une probabilité, une possibilité !
Si nous n’y sommes pas, ça n’existe pas !
La seule place ou ça puisse exister, si nous n’y sommes pas, réside dans la probabilité ou la possibilité !
Ce qui veut dire que si nous pensons à quelqu’un, quelque chose, un événement ou même un endroit où nous ne sommes pas, on se place dans un état négatif d’inquiétude (stress) ou dans un état positif d’euphorie (impatience – fausses joies).
Tout simplement, parce que ça n’existe pas ou du moins, pas encore.
Dès lors, on comprend que nous créons nous même ces états d’inquiétude ou d’euphorie concernant des choses qui n’existe pas.
Que ce soit positif ou négatif, penser à ce qui n’est pas là, ne nous aide pas.
À ce moment-là, serait-ce la faute de ce à quoi l’on pense ?
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Qu'est-ce que l'égo ?
Contrairement à la pensée populaire, l’égo qui est une partie de l’Être ne peut être vu comme un ennemi. On pourrait le voir comme un contenant, un contenant où se cachent des programmes. Loin d’être un ennemi, il est le contenant qui absorbe tous les traumatismes qui ne sont pas reconnus par le conscient.
Quand notre conscient n’est pas assez évolué pour comprendre ce qui se passe, les traumatismes, quels qu’ils soient, se transfèrent du conscient à l’inconscient. Les traumatismes enfouis dans l’inconscient sont la somme de ce que le conscient n’a pu gérer. J’aime bien les voir comme des enfants abandonnés qui ont besoin d’être libérés.
Lorsque le conscient, en accumulant la compréhension des expériences vécues, est devenu assez évolué, certains traumatismes vont remonter à la surface. Tout allait bien et tout d’un coup ça nous arrive comme ça, boom, en pleine face. Et on se demande d’où ça vient ! Comme pour nous dire hé, je suis là, j’attendais que tu sois prêt à m’accueillir pour enfin me reconnaître et me libéré.
Il y a plusieurs sentiers pour chacun de nous afin de libérer un traumatisme ou une blessure. Pour ma part après, avoir compris le processus du conscient non évolué à évolué, j’ai développé un petit concept/miracle.
Dans un premier temps, ne pas résister, ensuite ACCEUILLIR. Même si la résistance persiste, continuer à accueillir. C’est une pratique !
Dans un deuxième temps, se concentrer sur quelque chose que l’on aime, je sais, c’est une assez bonne pratique. Mais nous ne pouvons pas avoir la concentration sur deux choses en même temps. Alternativement, oui, mais pas en même temps. De ce constat, il est plus facile de choisir ce que l’on aime, plutôt que de résister à ce que l’on n’aime pas.
Et puis, lorsque que nous somme concentré sur ce que l’on aime, le traumatisme à tendance à se dissoudre par lui-même. Oui je sais, ça l’air assez Wild, mais ça fonctionne !!!
À l’opposé, plus on donne de l’attention à ce que l’on n’aime pas, à ce qui nous fait peur ou fait mal en dedans, plus les/le traumatisme va s’actualiser. Peu importe s’il est d’un autre temps ou de cette cet espace-ci.
C’est une prise de conscience personnelle pour chacun de nous et de la pratique constante. On ne devint pas un bon joueur de hockey en restant assis sur le banc.
Alors, qu’est-ce que l’égo ?
Un contenant des programmes incluant tous les traumatismes accumulés d’expériences vécues de cet espace/temps et d’autres espaces/temps.
Accuser ce qui est appelé l’égo, c’est d’avoir développé la maladie de la StaCause et tant que ce sera la StaCause on ne pourra pas parler D’ÉVEIL.
C’est que ma façon de voir !!!
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Qui je suis ou ce que je suis ?
Juste une réflexion que je partage depuis 25 ans, sur ces paroles (qui je suis).
Ce que ça m’a dit en dedans lorsque je réfléchissais à cette énoncée (qui je suis) :
Qui je suis, suggère un personnage, genre (c’est qui cette personne ou de qui tu parles au juste…….) !!!???
Ce qui sonne juste pour moi et je dis bien, pour moi, ce n’est pas (qui je suis) mais (ce QUE je suis).
Pourquoi ?
Parce que (qui je suis) parle de ma (personnalité). (Ce que je suis) désigne (ce qui MANIFESTE) et ce qui (MANIFESTE) n’est autre que (l’ÉNERGIE) et (l’ÉNERGIE) n’est pas un personnage, c’est ce qui (MANIFESTE).
(L’ÉNERGIE) est éternel, immuable, neutre. Neutre, ce qui signifie que ÇA répond à tout ce qui vibre.
Ce que je pense et ce n’est que mon point de vue, c’est que ce qui est (MANIFESTÉ) par (l’ÉNERGIE), c’est la vibration et la vibration est créée par la pensée et l’émotion maintenue (Focalisée), (l’attention et l’intention), là (décision et l’action).
Alors pour moi, ce que nous avons appelé dieu et des milliers d’autres noms n’est autre que (l’ÉNERGIE).
C’est ce QUE je suis, ce QUE tu es, ce QUE nous sommes et c’est TOUT ce qui est ! Il n’y a pas de dedans ni de dehors, il y a TOUT ce QUE c’est en dedans et en dehors.
Qui, ramène à un personnage une personnalité!
Que, suggère ce qui manifeste (l’ÉNERGIE) !
J’aime ce QUE je suis et ce QUE je vis de par la manifestation de (l’ÉNERGIE) à travers toi !!!
Voilà, je voulais juste vous partagez, depuis longtemps, ce qui m’est venu après la lecture de la publication d’une amie virtuel, ce matin.
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L'Égo et l'Amour inconditionnel
Pourquoi ce thème ?
Parce que plusieurs personnes dans plusieurs domaines différents disent que l’égo est à la racine de toute souffrance !
Ce qui est à comprendre c’est (qu’est-ce que l’égo) ?
Pourquoi est-ce que l’égo est une source de souffrance ?
Est-ce vraiment l’égo qui est source de souffrance ou bien quelque chose d’autre qui n’est pas trop bien compris ???
On va démystifier ensemble.
Mon point de vue sur ce qu’est l’égo et l’amour inconditionnel !
L’Amour est INCONDITIONNEL et n’a rien à voir avec l’individualité, la personnalité. Sauf, si cette personnalité est habitée par cette substance (l’Amour). Et lorsque la personnalité est habitée par l’Amour INCONDITIONNEL, on ne peut plus parler de personnalité.
En outre, L’ÊTRE est un tout, L’ÊTRE est entier. On ne peut pas dissocier L’ÊTRE, et ce qui est appelé (égo) en fait partie. Si on dissocie l’égo de L’ÊTRE, on se rejette soi-même, si l’on se rejette soi-même, on vibre le rejet et c’est ce que l’Amour INCONDITIONNEL va manifester dans notre expérience, parce que l’Amour INCONDITIONNEL répond à notre vibration.
Ce que l’on appelle (égo) depuis des millénaires et même encore aujourd’hui est simplement le résultat de nos PRÉFÉRENCES personnelles créé par nos propres expériences. PRÉFÉRENCES qui engendrent trois états, LIENS – APPARTENANCES – ATTACHES – ATTENTES. Lorsqu’un ou plusieurs de ces états sont COMBLÉS ou pas COMBLÉS ceci engendre de la SATISFACTION ou de L’INSATISFACTION. C’est ce qui est appelé aujourd’hui, BONHEUR et MALHEUR.
On peut appeler ces composants (égo) si l’on veut. Cependant, l’idée est de comprendre ce qui est appelé (égo) :
ÉGO =
PRÉFÉRENCES
LIENS – APPARTENANCES – ATTACHEMENTS
ATTENTES
COMBLÉS non COMBLÉS
SATISFACTION – INSATISFACTION
BONHEUR – MALHEUR
Lorsque ce concept est compris, ce que l’on appelle (égo) retrouve sa place en UNITÉ dans L’ÊTRE et inévitablement nous renouons avec notre paix originale.
Pour moi, je fais référence à un contenant quand on parle de l’égo. Si l’on parle de contenant, il y a probablement du contenu.
Le contenu du contenant qui pourrait être appelé (égo) est le résultat de tous nos choix d’expériences qui se sont avérés positifs ou négatifs. À travers cette polarité, on peut rencontrer ce qui est communément appelé, blocages ou blessures.
C’est ce que j’appelle des PROGRAMMES !
Le programme, c’est le contenu et ce qu’on appelle (égo) est le contenant, une composante de L’ÊTRE qui ne peut être dissocié. Par analogie, l’eau qui est bleue dans un verre transparent, est-ce le verre qui est bleu ou l’eau ? L’eau, bien sûr ! Il en va de même pour le contenant, est-ce le contenant qui est le programme ou le contenu ?
Le verre peut-il se remplir d’eau lui-même ? Le contenant peut-il se remplir de contenu lui-même ? De toute évidence, il y a un événement, une intervention de quelqu’un ou de quelque chose. Et qui pourrait bien être ce quelqu’un ou ce quelque chose ?
NOUS-MÊMES, RIEN QUE NOUS-MÊMES !
Donc, qu’est-ce que l’égo ? L’égo c’est MOI ! Et qui remplit le contenant qu’on appelle (égo)? C’est MOI et rien que MOI. Je suis totalement responsable de mes contenus que sont mes programmes.
Qu’est-ce qu’un programme ?
Les programmes (contenu) sont les résultats d’expériences négatives et positives qui s’accumulent dans le contenant appelé (égo) au fur et à mesure du temps à travers les multiples incarnations. Ce sont des expériences marquantes, plaisantes ou traumatisantes.
N’étant pas compris par le conscient sur le moment ils restent en attente d’être compris et libéré par un conscient plus évolué de la personne. L’évolution du conscient est relative et est associée aux nombres de prises de conscience que la personne va faire durant une existence ou à travers plusieurs incarnations d’existences.
Donc, lorsque l’évolution d’une personne est à un niveau de pouvoir COMPRENDRE consciemment un programme, l’Amour INCONDITIONNEL manifeste à travers de multiples MESSAGERS les informations nécessaires à libérer le ou les programmes.
Je place cette image parce la matrice, l’égrégore social, le collectif social déclare que c’est la faute de l’Égo.
Cela peut être la faute de n’importe qui, n’importe quoi !
Et oui, quand c’est la faute de l’autre, on ne peut parler d’éveil.
Clermont Couillard
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Je t’aide, je te donne, je t’aime...
J’ai toujours été interpellé par ces affirmations. Je me suis toujours posé certaines questions à leurs propos.
Les commentaires les plus utilisés du genre “moi je donne, mais je n’attends rien en retour”. Combien de fois ai-jes entendu ces propos ?
Ou bien, “j’ai toujours aidé les autres, ça fait partie de ma nature et je n’ai pas besoin qu’on me le rende”.
Ou encore, “je t’aime ma chérie et cela me suffit. Je te prends comme tu es et je respecte ta façon de penser et de faire”.
Nous avons tous, au cours des millénaires, développé des façons d’exprimer un certain contrôle par nos paroles et nos actions afin d’expérimenter la matière.
Nous entendons dire d’une personne à une autre qu’elle va l’aider et que rien ne sera demandé en retour. Pourtant, quelques années plus tard lorsque cette personne demande de l’aide à celle à qui elle en a donné, elle reçoit un quelconque refus. C’est alors qu’étonnamment nous entendons “je t’ai bien aidé moi, il y a quelque temps”… Et c’est le même phénomène pour les deux autres affirmations.
Je me suis interrogé bien longtemps avant de comprendre ce comportement. Bien que je savais au fond de moi que les gens étaient de bonne confiance en affirmant ces dires, je voyais bien qu’il y avait quelque chose qui clochait.
J’ai donc observé durant mes rencontres publiques pendant plusieurs années…
C’est sur le point de vue de l’amour que les gens disent avoir l’un pour l’autre, qui m’a allumé.
Comment se fait-il qu’une personne puisse dire à une autre personne qu’elle l’aime et que le jour d’après elle use de violence autant verbale que physique. Comment se fait-il qu’une mère puisse dire à son enfant qu’elle l’aime et que deux minutes après elle lui crie par la tête. On pourrait en donner des exemples semblables, n’est-ce pas ?
Et bien, j’ai compris la confusion !
Parce que c’est vraiment juste une question de confusion.
Confusion en quoi ? Dans le sens que l’on attribue aux mots.
L’Amour que l’on dit ressentir pour la différence, ce n’est pas de l’amour, c’est un sentiment et ce sentiment est égal au degré de reconnaissance de soi à travers cette différence.
Trop important, je le ré-écrit :
L’Amour que l’on dit ressentir pour la différence, ce n’est pas de l’amour, c’est un sentiment et ce sentiment est égal au degré de reconnaissance de soi à travers cette différence.
Plus on se reconnaît à travers la différence, que ce soit en positif ou en négatif, plus on dit l’aimer ou plus on lui crie par la tête.
Je donne un exemple:
Prenez une personne que vous aimez, faites-lui un clône et à la place des belles qualités que vous voyez dans la personne que vous aimez, placez des défauts que vous n’aimez pas. Bien que c’est la même personne physiquement vous ne l’aimerez plus !
Peut-on appeler cela de l’amour ?
En ce qui me concerne, j’appelle cela des sentiments à ma reconnaissance de ce que je suis à travers la différence. (Personnes, animaux, choses, événements), c’est pareil.
Je donne un exemple de ce que moi j’appelle Amour :
Quand vous allez à la cuisine et que vous prenez un verre pour vous servir de l’eau au robinet, est-ce que l’eau vous dit “ Tu viens de boire du vin, je ne te donne pas de mon eau”. Non, l’eau continue à couler; c’est pour moi une exemple magnifique de l’AMOUR INCONDITIONNEL.
C’est pour cela qu’on dit que DIEU est Amour. Parce que c’est de l’Énergie et que ça ne juge pas. Cette Énergie donne, donne, donne et ne prend jamais. C’est pour cela aussi que l’on dit que le soleil reluit aussi bien sur les riches que sur les pauvres. L’eau c’est la même chose, une énergie qui ne juge pas et qui donne, donne, donne.
Les guerres, la haine, la maladie, c’est de la confusion en dedans de nous.
L’AMOUR, c’est sans condition !
Les sentiments, ce ne sont que des conditions.
Attention, il n’y à rien de mal, ni de bien en ce qui est énoncé ici. Cependant les deux mènent à des chemins différents…
Le bien-être ou la souffrance, à nous de choisir…
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Quand on dit, je t'aime !
Quand on dit, je t’aime, ce n’est pas que je t’aime, c’est simplement parce que tu penses comme moi, tu dis comme moi, tu fais comme moi…
C’est ça que l’on aime !
Ce n’est pas toi qui es aimé, mais le fait que mes préférences soient comblées.
Idem, lorsque l’on dit, je ne t’aime pas, ce n’est pas toi qui n’es pas aimé, mais le fait que mes préférences ne soient pas comblées.
On ne peut pas considérer le je t’aime pour de l’amour ou le je ne t’aime pas pour de la haine, mais plutôt comme le degré de reconnaissance de nos préférences à travers la différence.
Le mot amour est aussi galvaudé que le mot dieu.
Alors par déduction, si le je t’aime est = à nos préférences, c’est que le je t’aime n’est pas de l’amour. Tout simplement parce que les préférences sont CONDITIONNELLES et que L’AMOUR est INCONDITIONNEL.
Donc, si les préférences ne sont pas de l’amour, qu’est-ce que c’est ?
Des sentiments et ces sentiments sont proportionnels à la reconnaissance de nos préférences à travers les différences. Autrement dit, on est sur la même longueur d’onde et c’est CONDITIONNEL. Donc, ce n’est pas de l’amour, mais de la reconnaissance conditionnée.
Et si les sentiments ne sont pas de l’amour, alors, qu’est-ce que l’amour ? Ho, pas l’amour, mais L’AMOUR !!!
L’AMOUR, c’est sans conditions, ont dit de L’AMOUR que c’est INCONDITIONNEL.
L’AMOUR, c’est la VIE.
L’AMOUR, c’est l’information qui nous parvient sous forme de télépathie (Mémoires Akashiques).
L’AMOUR, c’est neutre pour tout et tous.
L’AMOUR, c’est l’Énergie.
L’AMOUR, c’est Vibration
L’AMOUR, c’est ce qui manifeste la matière, de par notre vibration.
L’AMOUR, c’est le champ de toutes probabilités / potentialité.
L’AMOUR, …
Pourquoi on se ferme les yeux lors d’une satisfaction ?
Pour ressentir !
Res sentir = sentir = senti ment
Et les sentiments sont conditions. On peut appeler ça de l’amour, mais pas L’AMOUR.
Oui, je sais ! Ce n’est pas grave, c’est juste un point de vue !!!
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Juger le niveau vibratoire !
Il y a près de neuf (9) milliards de personnes sur la planète et chacun est à sa place.
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C’est une invitation à vous laisser guider par votre sentie. Vous avez des commentaires, réflexions ou autres, je suis présent à les recevoir en toute ouverture.
Clermont !